A l’occasion de la sortie de Impy le Dinosaure au cinéma, découvrez l’auteur Max Kruse…

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{xtypo_dropcap}A{/xtypo_dropcap} l’occasion de la sortie de Impy le Dinosaure au cinéma, découvrez l’auteur Max Kruse…

Nous connaissons tous l’influence que le milieu peut avoir sur les futures vocations des enfants. Ainsi, beaucoup considèrent que la passion de Max Kruse à raconter des histoires est directement liée au fait d’avoir grandit dans les ateliers de sa mère, Käthe Kruse. Célèbre créatrice allemande de marionnettes, son nom est aujourd’hui encore associé à une marque réputée de superbes poupées qui font le bonheur des petites filles depuis 1910. Après la guerre, en 1954, Max Kruze s’est employé à entretenir cette magie en recréant l’atelier de sa mère, avant de se consacrer à l’écriture dès 1958. Auteur prolifique, il écrit de la poésie, des pièces de théâtres, des récits de voyage avant de s’imposer comme scénariste, producteur et directeur de société de production pour la télévision et le cinéma. Mais son nom reste associé au domaine de l’enfance pour laquelle il a beaucoup écrit. Son plus gros succès est Urmel, qui sera traduit en Français par Plodoc le petit diplodocus. Le principe en est simple : prêter à un casting d’animaux exotiques et surprenants, drôles et impertinents, les caractères, défauts et qualités d’enfants. Avec Plodoc, Woutz la cochonne, Mastoc l’éléphant de mer, Vava le varan et Ping le pingouin, l’identification des petits aux personnages est imparable.

A partir de 1969, Kruse a écrit 11 volumes, qui se sont vendus à plusieurs millions d’exemplaires de par le monde. La série donnera matière à quantité de déclinaison, en livre audio, en série télé, en jouet et même en comédie musicale. En France, cinq de ces titres furent traduits par Michèle Kahn et illustrés par Daniel Billon pour les éditions Hachette, la bien connue bibliothèque rose, entre 1974 et 1977. De Plodoc, diplodocus de Choc, premier titre de la série (à l’origine de l’adaptation en film) à Plodoc en plongée en passant par Plodoc est plein d’aplomb, ces titres sont toujours aussi habiles et attendrissant, mais aujourd’hui terriblement difficiles à trouver ! Espérons que la sortie du film sera l’occasion d’une réédition… D’autant que le petit dinosaure n’était pas la seule création de Max Kruse à avoir été traduite en français pour cause de succès. Citons notamment Sa majesté Minimôme 1er. Et puis on peut toujours espérer qu’un jour, sa craquante série du lion (Der Löwe ist los), culte en Allemagne et inconnue chez nous, ait les honneurs d’une traduction…

Frédéric Lelièvre

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